STATUE DE FERNAND LAFARGUE

> NATURE/CONSTRUCTION:   Buste en marbre, Socle en pierre de Chauvigny

> ÉTAT:   Toujours visible, restauré en 2006.

Coordonnées GPS:    

44.84821, -0.5787.

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=> la CARTE:

Jean Fernand Lafargue est né à Bordeaux le 20 février 1856. Ses parents, natifs de Valence d'Agen et négociants à Bordeaux, lui font faire de solides études classiques chez les pères Jésuites. Il entre ensuite à la Faculté de Droit, est admis au barreau en 1876 et soutient sa thèse de doctorat en 1881.    A cette époque déjà, il se sent attiré par la littérature et le journalisme. Il collabore à une revue littéraire, Le Troubadour, écrit des poèmes, ébauche quelques comédies et drames en prose ou en vers...

A l'automne 1881, au désespoir de ses parents, il décide de se consacrer aux Lettres et part pour Paris, avec la promesse d'un emploi de rédacteur au journal "La Petite République Française" et à la revue "La Famille". L'année suivante, il part pour Paris où il épouse une amie de Bordeaux: Jeanne Philomène Laperche.(elle-même écrira plusieurs romans, sous le nom de Pierre de Coulevain).

C'est alors que commence réellement sa carrière littéraire. Il écrit plusieurs romans, presque tous publiés en feuilletons (voir plus bas dans la page §Anecdotes) comme la plupart de ses confrères, des nouvelles, des contes et des romans, dans les journaux de Paris et de province.

En 1885, il fait paraître une étude de mœurs provinciales : "La Fausse Piste", et l’année suivante : La Gourme, œuvre qui passe alors pour audacieuse. Il trouve, dès lors, sa véritable voie dans le roman de mœurs : Fin d’amour en 1890, Une seconde femme en 1895. Pendant plusieurs années, il écrit des centaines de contes et de nouvelles dans les journaux parisiens et donne une série de grandes nouvelles...

En 1887, il est admis à la Société des gens de lettres, et en 1893, est élu au Comité, sous la présidence d’Émile Zola. Il y remplit les fonctions de secrétaire pendant trois ans et préside de nombreuses commissions. Il sera élu vice-président en 1899, sous la Présidence de Marcel Prévost, et de nouveau en 1903.

En 1897, à la suite d’un accident, sa santé est gravement atteinte et il doit, pour un temps, limiter le rythme de sa production littéraire. Il met à profit ce repos forcé pour faire publier Sans Aimer, un recueil de sonnets de jeunesse. A partir de 1899, après la parution dans l'Illustration de son roman Les Ouailles du Curé Fargeas, récompensé par le prix Montyon de l'Académie Française, toute son œuvre est éditée, notamment chez Flammarion et Tallandier.

En juillet 1901, il est fait Chevalier de la Légion d'Honneur. Le romancier est alors en pleine possession de son art, et l’avenir semble lui sourire quand brusquement il tombe malade et meurt prématurément à l’âge de 47 ans, le 18 septembre 1903, à Talence.

Fernand-Lafargue aura écrit et publié une vingtaine de romans, deux recueils de poèmes, quelques saynètes pour salons et plusieurs centaines de contes et de nouvelles. Tous ses manuscrits et les éditions originales de ses œuvres ont été déposés à la Bibliothèque Municipale de Bordeaux. Le fonds Fernand-Lafargue de la Bibliothèque Municipale de Bordeaux conserve deux mille lettres reçues par le romancier à l'occasion de l'envoi de ses livres.

Il a donné son nom à une place, à des rues dans sa région natale de Gironde, à Bordeaux et à Soulac-sur-mer où il se fit construire un chalet en 1884.

Ses amis parisiens et bordelais lui font élever un monument, inauguré en 1906, dans le jardin public de Bordeaux. Le jeune sculpteur bordelais, Jules Rispal, a placé de chaque côté du buste de l’écrivain un des personnages de ses romans : le garde-chasse landais et la vendangeuse médocaine.


Inscriptions:

Sur le socle: "Au grand romancier Fernand Lafargue 1856-1903",

Sur le côté droit: "J.RISPAL 1906"

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Historique :

> 1904: un comité d’action en “hommage à Fernand Lafargue”, se constitue et ouvre une souscription en vue d'ériger une buste en son honneur. Ce Comité demande en 1905 au Conseil municipal de la ville de Bordeaux de contribuer à l’exécution d’un monument commémoratif.

> 19 avril 1905: le conseil municipal votre une allocation de 100 F. L’exécution du monument est confiée très tôt au sculpteur bordelais Rispal.

> Décembre 1905: une subvention de 1 000 F est accordée par l’État.

> du 15 avril au 30 juin 1906: Plâtre n° 3487 exposé au Salon de 1906 au Grand Palais à Paris. 

> 21 Mai 1906: La 12ème liste de souscription présente un total de 5596,75 Fr.

> 1er Juin 1906: Une conférence sur la vie et les œuvres de F. Lafargue fut organisée, présidée par Marcel Prévost et présentée par l'écrivain et professeur d'Université Camille Vergniol.

> 31 juillet 1906: inauguration du monument. Des discours ont été prononcés par MM. Frank au nom de la Société des Gens de Lettres. Nestrezat, adjoint au maire, et Barde, professeur à la Faculté de droit de Bordeaux, au nom du comité du monument. 

> Février 2006: Restauration du monument.

Description

Les deux figures sculptées par Rispal évoquent les Landes et les vignes, que l'on retrouve dans les romans de Lafargue.

A droite, sur l'un des contreforts qui partent en arc de cercle de la stèle, une jeune femme est assise. Elle porte le costume des vendangeuses : en sabots, le fichu croisé sur les épaules, la jupe retroussée, le chapeau à petite calotte basse et à larges bords dégage la tête et retombe sur la nuque, retenu par la bride qui se noue au cou. Le corps s'appuie sur un cep, dont les branches grimpent le long de la stèle. D'un panier débordent des grappes. Les yeux vers la terre, la jeune femme est songeuse, mélancolique. C'est "Eva", l'héroïne de "Ruth", arrivée à cette période de sa vie cahotée où elle se demande si le chemin nouveau qui s'offre à elle est celui de l'apaisement, du repos, peut-être du bonheur.

A gauche, lui faisant pendant, debout adossé à la stèle, c'est un berger landais. La tête est coiffée du béret, sur les épaules retombe le traditionnel manteau en peau de mouton; le pantalon rentre dans les hautes guêtres tricotées qui s'évasent et recouvrent en partie le sabot. D'une main, l'homme assure son bissac, de l'autre il tient son bâton auquel s'accrochent des palombes (évocation de la "Palombière"), fruit de sa journée dans la lande. Le regard est droit et décidé, la carrure solide, le corps bien campé. Derrière lui s'élève une branche de pin qui complète le rappel du pays.

Et dominant l'ensemble du sommet de la stèle: Fernand Lafargue en buste, qui serait, au dire de ceux qui l'ont connu, d'une ressemblance parfaite...


ANECDOTES ET INFORMATIONS ANNEXES

Romans

     La Fausse Piste, roman de mœurs, Paris, G.Robert 1885

     La Gourme, Jules Lévy 1886

     Une Idylle à Taïti, Plon, Nourrit et Cie 1887

     Fin d’Amour, Ollendorf 1890

     Une Seconde Femme, Flammarion 1895

     Toujours Aimé! , Flammarion 1898

     Les Ouailles du Curé Fargeas, Flammarion 1899

     Baiser Perdu, Flammarion 1899

Les Ciseaux d’Or, Flammarion 1900                  

Passions de Plage, Flammarion 1900

Les Amours passent, Flammarion 1901

Les Amours Bibliques – Ruth, Flammarion 1901

      

Théâtre

Parfum de Race, comédie lyrique en un acte, 1892

Feu et Fumée, comédie en un acte, Ollendorf, 1893(Paris, Folies Bergères, 15 mai 1892)

Le Cœur des Humbles, comédie lyrique en un acte pour jeunes filles, Paris, O. Bornemann

         Essai

     Le Mythe de Prométhée, (extrait de la Revue des Idées, 15/12/1904)



Le Clergé de France – L’Hostie, Flammarion 1902

La Fille des Vagues, Tallandier 1902

Le Point Noir, Tallandier 1903

La Palombière, Flammarion 1904

Les Amours Bibliques – Bethsabée, Flammarion 1904

Les Amours Bibliques – Les Danglemar, Flammarion 1904

La Fiancée Veuve, Tallandier 1905

Dette d’Honneur. Qui?, Flammarion 1907

Les Amours Bibliques – Rachel et Lia, Flammarion 1907

Le Comte Satan, Tallandier 1909

Luttes d’Amour, Paris A.L. Guyot

Floraisons d’Amours (“les Maîtres du Roman Populaire”), 1915


Contes et Nouvelles

Inviolées, Profils de Femmes Honnêtes, Tallandier 1904

Contes Réalistes, Moeurs d’Aujourd’hui, Tallandier 1905

Contes Violets, Tallandier, 1906

Contes Blancs, Tallandier, 1909

Poésie

    Sans Aimer, Ollendorf, 1893

    Horizons, 1925

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Au moment du décès de Fernand-Lafargue, le journaliste bordelais Argus a fait paraître l'article suivant dans La Petite Gironde, 21 septembre 1903.     

Causerie Bordelaise ...     

Nous avons conduit ce matin à sa dernière demeure un Bordelais qui faisait honneur à Bordeaux. Fernand-Lafargue, qui vient de mourir en pleine vigueur de l'âge, avait tous les droits à la haute estime de ses concitoyens, comme il a tous les droits aux regrets de ses nombreux amis. Nos relations dataient de plus de vingt ans. Elles furent d'abord intermittentes, car nous étions séparés par la lutte pour la vie que chacun de nous soutenait de son côté; mais elles ne tardèrent pas à devenir assez fréquentes et tout à fait cordiales. Fernand-Lafargue était un sympathique: on l'estimait sur sa renommée, on l'aimait au premier contact.         

J'ai rappelé ici naguère, à l'occasion de sa nomination de chevalier de la Légion d'Honneur, que j'avais eu le plaisir de signaler ici ses débuts dans la poésie et dans le roman. Les premières œuvres de Fernand-Lafargue s'appelaient La Fausse Piste et Sans aimer. Elles donnaient déjà mieux que des promesses de talent, et l'on n'aurait même pas pu reprocher à leur auteur la gaucherie et l'inexpérience du commun des débutants. L'esprit de Fernand-Lafargue était mûri avant l'âge, car sa première jeunesse avait été prise par de fortes études de droit. Sa famille le destinait au barreau; lui n'avait de goût que pour les lettres. Par déférence pour les désirs paternels, il suivit les cours de la Faculté et conquit ses diplômes. Mais lorsqu'il eut passé son doctorat, lorsqu'il fut devenu homme, il voulut être homme de lettres.

Pour lui, comme pour bien d'autres, la notoriété ne vint pas tout de suite: il fallut la conquérir peu à peu par le labeur quotidien. Fernand-Lafargue commença par écrire dans les journaux. En ce temps-là, le reportage était moins envahissant qu'aujourd'hui; il y avait place dans toutes les feuilles quotidiennes pour des nouvelles, des contes, des fantaisies littéraires. A La République française, au XIXè Siècle, à l'Estafette, Fernand-Lafargue publia un grand nombre de ces opuscules, et, même dans ces œuvres forcément hâtives, il sut donner les preuves d'une imagination fertile, d'un goût très sûr et d'une rare conscience littéraire. A la même époque, il remplit dans deux journaux hebdomadaires, La Famille et Le Journal des Enfants, les fonctions de secrétaire de la rédaction.                                                        

Mais bientôt la mode des nouvelles et des courts récits cessa de fleurir: les journaux, éprouvés par le krach, firent moins bon accueil à la littérature, et Fernand Lafargue se voua dès lors au roman de longue haleine.

C'est là qu'il devait trouver le succès et la juste renommée dont il jouissait depuis quelques années déjà. Ses premiers romans furent très goûtés. Je n'en dresserai pas ici la liste, qui comprendrait une trentaine de volumes. Il me suffira de citer La Fausse Piste, La Gourme, Une Idylle à Tahiti, Fin d'Amour, Une seconde Femme, Passions de Plage, Baiser perdu, Toujours aimé, etc ... C'étaient en général des études passionnelles, pleines de pénétration et d'intérêt. Publiées pour la plupart en feuilleton dans les journaux parisiens avant de paraître en volume, elles eurent beaucoup de succès, et Fernand-Lafargue figura parmi les auteurs cotés.

Brusquement, à ce moment-là, le romancier changea sa manière. Il aborda le roman de mœurs, et particulièrement l'étude des mœurs ecclésiastiques. Très documenté sur la matière, il écrivit et fit paraître dans L'Illustration: Les Ouailles du Curé Fargeas, qui obtint un prix de l'Académie française. Plus d'un critique, en appréciant ce roman, vit venir sous sa plume le nom de Ferdinand Fabre. Ce n'est pas faire un mince éloge de Fernand-Lafargue que de constater ce rapprochement. Peut-être avait-il la secrète ambition de remplir la place laissée vacante par l'auteur de Lucifer, et le succès de son premier essai dans ce genre sembla justifier son espoir. Après le prix académique et la grande médaille d'honneur décernée par la Société d'encouragement au bien, la croix de la Légion d'Honneur vint honorer dans Fernand-Lafargue le maître écrivain et le dévoué vice-président de la Société des Gens de Lettres.

Il y a un mois à peine, notre distingué collaborateur Auguste Gaud donnait à Fernand Lafargue la place qui lui était due dans sa galerie des Hommes de la Région, appréciait ses œuvres, et en particulier les œuvres de sa dernière manière, Les Ouailles du Curé Fargeas, Ruth, L'Hostie, en termes justement élogieux. Je ne recommencerai pas, ne voulant pas faire ici œuvre de critique, et désirant seulement marquer les étapes de cette existence de consciencieux et brillant travailleur de la plume.

Après les trois romans de mœurs cléricales dont je viens de donner les titres, Fernand-Lafargue marqua une étape et poussa ses travaux dans une autre voie. Il écrivit pour L’Écho de Paris, pour L’Éclair, deux romans très mouvementés, La Palombière et Les Danglemar. Mais il était prêt à reprendre la série de ses Amours bibliques, avec Rachel et Léa, œuvre déjà terminée et prête pour la publication.

Le bagage littéraire de Fernand-Lafargue était donc des plus respectables; et M. Gaud a pu dire avec raison que sa place était marquée parmi les maîtres du roman. Estimé par les plus grands, honoré par tous, aimé de tous ceux qui l'approchaient, Fernand-Lafargue pouvait passer pour un homme heureux. Tout lui souriait. Au moment de sa nomination dans la Légion d'Honneur, Le Figaro publiait de lui un portrait que j'ai déjà cité, je crois, il y a deux ans, mais que je reproduis ici, parce qu'il est resté exact et ressemblant jusqu'aux derniers jours du modèle:

"Quarante cinq ans. Né à Bordeaux. Sur un corps d'athlète, une forte tête, aux yeux d'un bleu foncé, à la barbe fauve. Doux comme un homme du Nord...

"Au comité de la Société des Gens de Lettres, dont il fut vice-président, il prend surtout la parole quand il s'agit d'une allocation à donner, d'une avance à faire". Fernand-Lafargue est là tout entier: bon écrivain et homme bon. Lui qui souriait à tous, n'avait-il pas droit au sourire de la Fortune? Il parut l'avoir un instant, non seulement comme écrivain, mais comme homme privé. Époux heureux et digne de l'être, il était père plein d'espoir. Son fils venait d'être reçu à l'Ecole Forestière, et ce premier succès était une joie de famille, la plus saine et la plus douce des joies. Puis soudain la maladie est venue, a terrassé ce corps d'athlète, et la mort a fermé ces yeux au regard si cordial et si sympathique, a glacé ce cœur si tendre et si chaud...

Fernand-Lafargue n'était pas ce qu'on peut appeler une "figure bordelaise". J'entends qu'en dehors de ses amis, assez nombreux du reste, il était peu connu de ses concitoyens; ou plutôt on connaissait ses écrits, non sa personne. Établi à Paris, il ne venait guère à Bordeaux que l'été, au moment des vacances, et encore ne faisait-il que passer en ville, pour aller soit à Talence chez son père, soit à Soulac, où il possédait une villa au bord de la mer. Mais il ne nous en appartenait pas moins pour cela: il nous appartenait par le cœur et par l'esprit. A l'Association girondine fondée pour faciliter aux jeunes Girondins l'entrée dans la vie parisienne, il fut un des premiers adhérents. Il était heureux que ses succès de romancier eussent leur écho à Bordeaux, et rien ne lui était plus agréable que la reproduction, souvent faite, de ses œuvres dans les feuilles bordelaises. C'est aussi dans son pays natal qu'il travaillait le mieux. C'est la terre natale qui lui fournissait les meilleures inspirations, les sujets d'observation les plus féconds, les scènes de mœurs les plus piquantes et les plus vraies. Il publiait à Paris mais il produisait chez nous: c'était donc un vrai Girondin.

C'est chez nous aussi, c'est chez lui, en terre bordelaise, que ce grand travailleur goûtera le repos suprême. Nous lui avons dit ce matin le dernier adieu, mais nous garderons son souvenir, et ses proches, le fils à qui il a laissé son nom et son exemple, devra porter ce nom avec une juste fierté, car parmi les enfants que la Gironde envoie conquérir une place au soleil parisien, Fernand-Lafargue fut un des mieux doués, un des plus vaillants et un des meilleurs.

                                                                                                                                           Argus.

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Soulac sur Mer - Villa Fernand-Lafargue 

Le résultat de mes recherches & synthèse des informations, de la construction des sections & mise en forme, et de la découverte des données d'illustrations/photos sur ce buste de FERNAND LAFARGUE sont entièrement issus de mon travail personnel. Je cite mes sources ci-dessus 📜.

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